Depuis peu, les caméras se sont mises en marche pour Reytac’s 2 Rounds, un film d’horreur prometteur écrit, réalisé et produit par Mason Ewing. Inspiré d’une mystérieuse légende urbaine dont on entend de plus en plus parler sur le net, le film serait basé sur l’histoire de Reytac, une ville bâtie au milieu du désert qui aurait brûlé dans un incendie, ne laissant derrière elle qu’une gare dans laquelle d’étranges phénomènes tels que des apparitions ou des disparitions auraient été observés par le passé.
Parmi les acteurs qui s’apprêtent à embarquer dans cette aventure terrifiante, Eric April, jeune talent qui fêtera bientôt ses 27 ans, a décroché l’un des rôles principaux. Entre excitation et appréhension, entretien avec un artiste à l’aube d’un projet qui pourrait bien hanter nos esprits…
Toombow Kids : Éric, comment avez-vous réagi en apprenant que vous aviez été choisi pour incarner l’un des rôles principaux de Reytac’s 2 Rounds ? Qu’est-ce qui vous a le plus attiré dans ce projet ?
Eric : Franchement, j’étais super heureux ! C’est un vrai rêve qui se réalise, et le fait d’obtenir un rôle principal rend l’expérience encore plus incroyable. Ce qui m’a tout de suite attiré, c’est l’histoire. La légende de Reytac m’a intrigué dès le départ, et l’idée d’en faire un film m’a semblé passionnante. Aujourd’hui, beaucoup de films d’horreur ne font plus vraiment peur, ils sont surtout gores… mais en lisant le scénario, je me suis dit : “Là, c’est différent. Ce film va vraiment être effrayant, comme les classiques d’autrefois.”
Toombow Kids : Avant d’être casté par Ewing Power Production, connaissiez-vous la légende de Reytac et son histoire mystérieuse ? Est-ce un mythe qui vous intriguait déjà, ou l’avez-vous découvert à cette occasion ?
Eric : Non, je ne connaissais pas du tout cette légende avant d’être pris par la production. Mais dès que j’ai su que j’allais jouer dans ce film, j’ai fait des recherches sur la gare de Reytac… et là, j’ai plongé dans un véritable mystère ! Plus j’en apprenais, plus je me posais de questions. L’histoire m’a vraiment captivé. Jouer dans un film basé sur une légende aussi troublante, c’est une chance incroyable. Je remercie Ewing Power Production pour cette opportunité, et je vais tout donner, comme toujours.
Toombow Kids : Les légendes urbaines ont souvent une part de mystère… Maintenant que vous vous plongez dans celle de Reytac, êtes-vous du genre à y croire, ou restez-vous sceptique ?
Eric : Honnêtement, j’y crois vraiment. Je suis persuadé que cette ville a réellement existé et que des événements étranges se sont produits autour de cette gare. Il y a trop de zones d’ombre pour que ce soit juste une simple légende. Et ce que j’aime, c’est que le film va justement explorer toute cette part de mystère… ça promet d’être fascinant !
Toombow Kids : Le tournage d’un film d’horreur, surtout basé sur une histoire aussi troublante, peut-être une expérience marquante. Avez-vous des appréhensions, ou au contraire, avez-vous hâte de vous confronter à cette atmosphère si particulière ?
Eric : J’ai vraiment hâte d’aller sur place, de ressentir l’atmosphère du désert où la ville était supposée se trouver. C’est vrai qu’il y a souvent des phénomènes étranges sur les tournages de films d’horreur… De base, je ne crois pas trop aux fantômes, mais je garde l’esprit ouvert. Pour l’instant, je suis sceptique, mais j’ai envie de vivre cette expérience et de voir par moi-même. Qui sait ? Peut-être qu’il se passera quelque chose d’inexplicable… D’ailleurs, pour certains acteurs qui ont commencé le tournage, j’ai entendu que des trucs bizarres se sont passés : certains appareils électroniques ont soudainement perdu toute leur batterie, et ils sont restés en mode batterie faible pendant un long moment. J’adore ce genre de choses ! Ça rend l’expérience encore plus excitante, et j’ai hâte de voir ce qui nous attend pour la suite du tournage.
Toombow Kids : Que pouvez-vous nous dire sur votre personnage, Cameron Becko ? Comment envisagez-vous de vous préparer mentalement et physiquement pour ce rôle ?
Eric : Pour me préparer, j’ai beaucoup travaillé sur la psychologie de Cameron. J’essaie de comprendre qui il est dans la vie de tous les jours, ce qu’il pense, ce qu’il ressent… L’objectif, c’est de vraiment être lui à l’écran, et pas juste de jouer un rôle. J’utilise la méthode de l’Actor Studio, qui pousse à s’imprégner complètement du personnage, à penser comme lui. J’aime aussi relier les événements de son passé et son évolution tout au long du film, pour que tout soit fluide et crédible. Cameron, c’est un personnage assez piquant, il aime les sarcasmes et il a un côté un peu frimeur. Ça va être intéressant de l’incarner !
Toombow Kids : En tant que spectateur, quels sont les films d’horreur qui vous ont marqué et qui pourraient influencer votre approche du jeu dans Reytac’s 2 Rounds ?
Eric : Shining, sans hésiter. J’ai adoré la performance de Jack Nicholson et la manière dont Stanley Kubrick a construit la tension. Les jumelles dans le couloir, la porte de la chambre… et surtout, cette descente progressive dans la folie. J’ai trouvé fascinant de voir Jack Torrance sombrer petit à petit, au point de poursuivre son fils dans le labyrinthe, même en plein froid. Ce genre de jeu d’acteur, où on sent une tension qui monte graduellement, c’est une vraie inspiration pour moi.
Toombow Kids : En plus d’être acteur, vous êtes aussi auteur et avez publié Les Tempêtes de Souffrance, un recueil de poèmes. Trouvez-vous un lien entre l’exploration de la peur à travers le cinéma et l’expression des tourments à travers l’écriture ?
Eric : Oui, il y a clairement un lien. Que ce soit en écriture ou en jeu d’acteur, il faut puiser en soi. Quand j’écris, j’exprime mes émotions profondes, ma souffrance, pour que les lecteurs puissent les ressentir. Au cinéma, c’est encore plus complexe, car il faut transmettre ces émotions uniquement avec le corps, le visage, les expressions, les gestes… Le tout, sans que ce soit forcé. C’est ça qui me passionne dans l’art : réussir à transmettre des émotions pures au public. Un livre, un film, une peinture… ce sont des émotions figées dans le temps, et elles continueront d’exister même dans des milliers d’années. C’est ce qui rend le cinéma si puissant à mes yeux : il permet de revivre des instants et des époques à travers le regard des artistes.
Toombow Kids : Si on vous proposait de passer une nuit seul dans la fameuse gare de Reytac avant le tournage… Accepteriez-vous le défi, ou déclineriez-vous poliment ?
Eric : J’accepterais sans hésiter ! Comme je l’ai dit, j’aime expérimenter les choses moi-même. Si cette légende est vraie et qu’un “châtiment” attend ceux qui s’aventurent là-bas, alors autant voir si je peux y survivre ! (rires)
Toombow Kids : Merci, Éric, pour toutes ces confidences ! On a hâte de voir si vous oserez encore mettre un pied près d’une gare abandonnée après le tournage. Bonne chance pour cette aventure, et comptez sur Toombow Kids pour suivre de près l’actualité de Reytac’s 2 Rounds… Car notre train Toombow nous dit que ce film n’a pas fini de nous surprendre !
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