Reytac’s 2 Rounds : le début d’une saga d’horreur culte ?

Reytac’s 2 Rounds le début d’une saga d’horreur culte ?
Ewing Power Production

Un vent glacial souffle sur le désert brûlant… et il pourrait bien bouleverser le cinéma d’horreur. Prévu sur nos écrans, Reytac’s 2 Rounds, le film d’horreur produit par Ewing Power Production et réalisé par Mason Ewing, attise déjà toutes les curiosités. Ce projet s’annonce comme le premier volet d’un univers étendu, mystérieux et terrifiant, destiné à s’inscrire durablement dans la culture populaire.

Le synopsis est simple en apparence, mais redoutablement efficace. Cooper Monroe et ses quatre amis — Tim Taylor, Johnny Michigan, Chris Turner et Cameron Becko — se retrouvent piégés au cœur du désert, là où se dresse une ancienne gare abandonnée. En franchissant deux ronds invisibles, ils déclenchent une malédiction : celle d’une nuit éternelle, peuplée d’ombres menaçantes qui traquent sans relâche. Une seule règle pour survivre : ne jamais laisser la lumière s’éteindre.

Ce huis clos oppressant promet une tension permanente, rythmée par des scènes de pure terreur et une atmosphère lourde de secrets. Mais selon nos sources proches de la production, Reytac’s 2 Rounds n’est que la porte d’entrée vers un univers beaucoup plus vaste… et bien plus sombre.

Ce qui distingue Reytac’s 2 Rounds des classiques du genre, c’est sa racine historique. Le film s’inspire de faits réels survenus à Reytac, une petite ville oubliée de tous qui se dressait dans le désert aux abords de Palm Springs, dont l’ancienne gare inachevée a été le théâtre de phénomènes aussi inexplicables qu’effrayants. La production aurait mis la main sur des dizaines d’archives : articles de journaux, photos d’époque, témoignages rares, tous liés à ces événements qui datent de la moitié du 19ᵉ siècle.

Au cœur de cette affaire, une fillette de 10 ans, Gwendolyn Porter, retrouvée morte dans la gare de Reytac dans des circonstances terrifiantes. Son corps portait des traces de blessures d’une rare violence, à tel point que les rapports médicaux de l’époque évoquent un acte de barbarie dépassant l’entendement. Gwendolyn deviendra l’un des personnages emblématiques du film — et de la saga — incarnant la peur originelle qui hante les lieux.

Cependant, la société de production à la tête du film ne compte pas s’arrêter là. Selon nos informations, Reytac’s 2 Rounds sera le premier chapitre d’une saga transmédia pensée pour se décliner sous plusieurs formats.

D’abord, un mangaka japonais de renom serait déjà pressenti pour adapter l’histoire en manga. On y retrouvera tous les personnages du casting — Louis Lopez (Tim), Al-Amin Juma (Cooper), Zacharie Malek (Johnny), Baba Wild (Chris), Eric April (Cameron) — mais aussi les légendes hollywoodiennes Eric Roberts et Calista Carradine. Tous seront “mangatisés”, c’est-à-dire dessinés dans un style graphique japonais. Ensuite, la société Ewing Power Production vise également une collaboration avec un grand studio de jeux vidéo. L’objectif ? Créer un jeu effrayant et immersif, où le joueur devra explorer la gare de Reytac, survivre à la nuit éternelle, comprendre les origines de la malédiction et affronter les ombres. Un jeu à choix multiples, peut-être ? Les spéculations vont bon train.

Déjà, les fans s’enthousiasment à l’idée de se glisser dans la peau des personnages de la saga. La figure de Gwendolyn Porter, avec sa robe d’époque ensanglantée et son visage arraché, est pressentie pour devenir un déguisement emblématique des conventions. Reytac pourrait bien avoir trouvé sa propre “Annabelle”.

À travers Reytac’s 2 Rounds, Ewing Power Production ne vise rien de moins que la création d’une franchise culte, à l’image des grandes sagas d’horreur comme The Conjuring, Silent Hill ou encore Resident Evil, avec la volonté de mêler horreur psychologique, histoire vraie et multimédia dans un univers riche et cohérent. Et si la lumière venait réellement à s’éteindre… êtes-vous sûrs d’en sortir vivants ?